Lewis Hamilton a fait l’objet d’une inspection post-course au Grand Prix de Monaco, la FIA ayant confirmé que des prélèvements avaient été effectués sur sa Ferrari.
Le week-end du septuple champion du monde à Monaco a été compromis après une pénalité de trois places sur la grille, infligée pour avoir gêné son rival Max Verstappen lors des qualifications. Hamilton a ainsi dû s’élancer en 7e position, derrière Fernando Alonso.
Hamilton a réussi à remonter jusqu’à la 5e place, mais le week-end est resté difficile pour le Britannique, surtout que son coéquipier Charles Leclerc a terminé deuxième, offrant à Ferrari un retour sur le podium.
Après le Grand Prix de Monaco 2025, la FIA a publié la liste des contrôles post-course, avec la voiture de Hamilton parmi celles concernées par cette procédure standard.
Un échantillon de carburant et d’huile a été prélevé sur la voiture de Hamilton. Après analyse, les deux échantillons ont été jugés conformes au règlement et le champion a passé avec succès toutes les inspections.
Le coup de moins bien d’Hamilton à Monaco
Hamilton a terminé à 51 secondes du vainqueur Lando Norris à Monaco et a exprimé sa confusion après la course, affirmant s’être senti complètement absent tout au long des 78 tours.
Un moment gênant est survenu sur la radio de l’équipe après le drapeau à damier, lorsque le directeur de course Adami a confirmé la position finale d’Hamilton. Ce dernier a alors remercié son ingénieur de course.
Une longue pause radio a suivi, poussant Hamilton à demander : « Tu m’en veux ou quoi ? » — une question restée sans réponse.
Le directeur de l’équipe Ferrari, Fred Vasseur, a ensuite expliqué que ce silence était volontaire, le team ne communiquant pas avec Hamilton dans certains virages afin qu’il puisse se concentrer, et que le pilote n’était pas contrarié par l’équipe.